Les anglophones sont très forts sur l'utilisation du suffixe « ware » : shareware, hardware, freeware, software, Netware, etc.
Comme tous ces termes sont en anglais, l'Office de la langue française du Québec a sauté sur l'occasion pour nous sur-normaliser et nous imposer les équivalents francophones déjà existants (mais trop peu employés). Voici le résultat :
Abreuvware : serveur de réseau
Assomware : logiciel très difficile à comprendre
Aurevware : procédure de sortie d'un logiciel
Baigneware : Logiciel de nettoyage du disque rigide
Boudware : logiciel dédié à la méditation
Cherware : logiciel qui coûte la peau des fesses
Cibware : logiciel mal fait qui nous fait sacrer lorsqu'on l'utilise
Coulware : réseau local d'une entreprise
Dépotware : poubelle de Windows
Dortware : logiciel plate à dormir debout
Égoutware : logiciel qui filtre les données inutiles
Embaumware : logiciel dédié à l'archivage de longue durée
Entonware : logiciel de compression de données
Footware : logiciel mal footu qui déclenche la chienlit sur l'ordinateur
Isolware : logiciel d'application électorale
Manware : logiciel destiné aux personnes riches
Mirware : logiciel de copie
Mouchware : logiciel antivirus
Oratware : logiciel qu'il faut prier pour le faire fonctionner
Purgatware : logiciel qui nous fait mériter le paradis
Promontware : logiciel d'observation
Promouvware : logiciel de démonstration
Rotisware : salle d'informatique mal climatisée
Suppositware : logiciel de merde
Tirware : logiciel spécialisé dans le rangement des dossiers
Tupperware : réunion de directrices de plusieurs entreprises
Vatferware : logiciel de contrôle d'accès